Astrid Faulkner SUPERMODO ; Colder than an iceberg.
Messages : 158 Pseudo : Psychadelya Age : 31 ans Occupation : Mercenaire
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| Sujet: Jaden McCallum [Misha Collins] - Ami (et plus) Dim 19 Juil - 11:00 | |
| Jaden McCallum I'm running away from something
(c) Lethal Lane | ▬ Age : 32 ans ▬ Occupation : Au Choix ▬ Histoire : Jaden est originaire des planètes centrales. Fils de très bonne famille, il était promis à une grande carrière au sein des Forces Armées de l'Alliance. Mais il commit une désobéissance très grave (au choix), qui le força à fuir pour ne pas être emprisonné. Il se réfugia alors sur les Planètes Éloignées, où il survécut de ci de là, jusqu'à prendre la tête d'un groupe de bandits qu'il organisa et aida à s'enrichir. Il y a quelques mois, ceux-ci tentèrent cependant de le supprimer, lassés par ses habitudes trop "honnêtes". Il ne dut la vie sauve qu'à l'une des femmes qu'il avait kidnappé : Astrid. Secourus par le Liberty, il choisit de les rejoindre et vit avec eux depuis. [Voir récit de leur rencontre ci-dessous, en spoiler] ▬ Caractère : Réservé - Gentleman - Patient - Organisé - Attentionné - Maladroit en sentiments - Pédagogue ▬ Relations : Depuis qu'Astrid l'a sauvé, il considère avoir une dette envers elle, et prend la chose très au sérieux. C'est pourquoi il a décidé de rester sur le Liberty : jusqu'à avoir pu payer sa dette. Mais au fil du temps, ce n'est plus devenu qu'une excuse pour rester sur un vaisseau où il se sent bien. Il a un faible pour Astrid, et s'il le reconnait envers lui-même, personne ne le lui fera avouer (ce qu'il ne sait pas, c'est que la réciproque est également vraie pour Astrid). En attendant, ce sont d'excellents compagnons d'entraînements et amis. ▬ Avatar : Misha Collins ▬ Autres Informations ? Avatar difficilement discutable, mais si vraiment Misha ne vous plait pas, je devrais pouvoir survivre, je crois... En ce qui concerne ce qu'il a pu faire pour être forcé de fuir, ce doit forcément être un acte pour protéger des personnes au mépris des ordres. Ma boîte MP est disponible pour en parler. N'hésitez à poser d'éventuelles questions à la suite. ▬ Fiche de Présentation d'Astrid Faulkner |
Extrait de la fiche d'Astrid : - Spoiler:
« Fait glisser ton joujou vers nous et les mains en l'air ma belle. » Astrid serra les dents, fusillant du regard les hommes qui la tenaient en joue. Mais elle s'exécuta, avec un soupir. Derrière elle, les passagers qu'elle était chargée d'escorter étaient cernés et sans défense, et le mercenaire qui l'accompagnait déjà à terre, pris par surprise. Si elle s'en sortait, elle aurait tout le temps d'étrangler l'informateur qui les avait assurer que les bandits du coin n'étaient qu'un petit groupe d'incapables... Les mains levées, elle chercha du regard le leader jusqu'à tomber sur un homme de bien meilleure tenue que les autres. Propre sur lui, il aurait pu sortir tout droit des Planètes Centrales s'il ne portait pas les vêtements grossiers du coin. Il organisait ses hommes sans ciller. Astrid fut bientôt poussée vers la forêt, où le campement de ces hommes résidaient. Avec un peu de chance, elle finirait vendue aux marchands d'esclaves locaux, mais les regards qui ne la quittaient pas la firent douter qu'elle tiendrait jusque là. Parquée dans un coin avec le reste des prisonniers, elle passa la soirée à observer le campement, scrutant les sentinelles à la recherche d'une faille. Mais ils étaient foutrement bien organisés pour des bandits de grand chemin. Faute de mieux, elle reposa donc son attention sur la discussion animée qui semblait avoir lieu autour du feu de camp. Le leader sembla y mettre un terme avant de se retirer pour la nuit. Ce qu'il ne vit pas, au contraire d'Astrid, ce fut les regards que s'échangèrent ses hommes dans son dos. Il ne finirait pas la nuit. Profitant de l'obscurité et de l'ébriété de ses gardiens, Astrid réussit à se débarrasser de ses liens et à se faufiler dans les ombres. Les prisonniers la couvrirent, assurés par un simple regard qu'elle ne les laisserait pas tomber. C'était son job après tout. Elle se glissa entre les tentes, à la recherche de l'endroit où ils gardaient les armes. Mais elle dut se cacher en entendant du bruit. Un coup d'oeil lui apprit que, comme elle l'avait appris, ces hommes avaient pris leur leader en traite, alors qu'il dormait. Il fut trainer à travers la forêt, se débattant difficilement, tête enfouie d'un sac. Astrid hésita... et partit à leur poursuite. Ils arrivèrent à une falaise où quelques mots (qu'Astrid ne put entendre) furent échangés. La plupart des hommes se retirèrent, ne laissant qu'un bourreau improvisé avec leur victime. Astrid en profita, silencieuse et discrète, et sauta sur le bandit restant, enroulant ses bras autour de son cou pour l'étouffer. Mais le géant se débattit et eut le réflexe de jeter sa victime dans le vide. Jurant, Astrid mit à terre son adversaire avant de se jeter à plat ventre. L'homme avait eu le réflexe de s'agripper à un rebord, quelques centimètres plus bas. Le sac avait glissé, dévoilant son visage. Sans hésiter, Astrid l'agrippa par les poignets pour tenter de le remonter. Il la fixait, d'un calme olympien. « Pourquoi aider celui qui vous a kidnappé ? » « Peut-être parce que c'est aussi celui qui nous a évité d'être maltraité. » marmonna Astrid, s'arcboutant pour trouver la force de le tirer à elle. Heureusement quelques racines pendantes lui permirent de trouver une prise et elle réussit à le traîner jusqu'au bord de la falaise où il put se hisser en sécurité. « Ce n'est pas très prudent, qui vous dit que je ne vais pas vous ramener ? » « Vous faites toujours ce qui est prudent et raisonnable ? » craignant un instant qu'il lui réponde par l'affirmative (ce serait bien le genre), mais doutant qu'il tente de retourner au campement après ce qui venait de lui arriver. « Non. » répondit-il après un long moment, sans la quitter des yeux. Hochant la tête, Astrid se releva, époussetant machinalement ses vêtements couverts de terre. Elle sortit l'émetteur qu'elle avait réussi à récupérer en fouillant le campement, et l'enclencha. Deux minutes plus tard, le Liberty apparut à l'horizon.
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